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    • Caprice On 11/04/2021
    Les signes du Seigneur existent et nous parlent : Il a une manière de communiquer propre à chaque âme...

    En été 2004, mon "petit" frère et ma belle-sœur, justes mariés et heureux, venaient me visiter à Toulouse. Nous sommes allés à la basilique Saint Sernin. Là, j'ai eu un moment de "blues" et j'ai fait cette petite prière : "Seigneur, pourquoi moi je ne trouve pas la bonne personne ?" J'étais en pleurs mais je ne voulais pas gâcher le bonheur des jeunes mariés...

    En septembre 2004, CO arrive dans le service. Deux de ses amis m'avaient parlé de lui : quand je l'ai vu pour la 1ère fois je l'ai trouvé trop beau puis, je n'y ai plus pensé, jusqu'à ce songe...

    Dans ce songe, j'étais dans une gare et il était là également ; il me signifiait, en cœur à cœur, "attends moi"... C'était mon 1er songe (je ne me souviens pas de mes rêves). Je me suis dit, c'est juste un rêve... Puis le temps est passé, plusieurs mois peut être, et j'ai refait le même songe... une amie me donna alors un livre expliquant les rêves, mais je ne rien compris à cela.

    Comme je voulais savoir s'il y avait vraiment quelque chose à attendre, j'allais donc tous les jours le saluer dans son bureau. Mais rien, je ne savais même pas s'il avait quelqu'un dans sa vie. Par ailleurs, nous nous croisions dans des soirées organisées par un ami commun, mais toujours rien...

    Au bout de quelques mois, n'y tenant plus, je décide de lui envoyer un message demandant s'il était disponible pour boire un verre (s'il était libre bien sûr). Et la réponse était, « Pourquoi pas » : notre premier rendez-vous eu lieu dans un bar agréable, mais rien ne me montrait qu'il avait un intérêt personnel pour moi. Je conclus donc que nous resterions amis lorsque, avant de partir de chez moi, il m'embrassa. Nous étions en janvier 2006, au début de notre histoire. ..

    Impatiente et enthousiaste, au bout de quelques mois, je lui proposais de venir vivre chez moi : la réponse était que comme c'est trop petit chez moi, nous resterions chacun chez soi. Alors, désabusée, je lui dis que c'était fini entre nous.

    Un mois et demi plus tard, ayant acheté un lit et ne sachant pas à qui demander de l'aide pour son installation, il accepta de m'aider : et notre relation à repris...

    Un certain nombre de signes ont accompagnés notre rencontre, comme les deux songes, bien ancrés dans ma mémoire, les amis qui nous ont partagés leurs sentiments sur nous... Lorsqu'une amie m'expliqua "il faut prier pour son futur époux...", je compris que la prière que j'avais faite à l'Église Saint Sernin avait été entendue !

    • Sarah On 22/10/2020
    20 octobre 2020 – 26ème anniversaire de ma Relation à Dieu !

    Le 20 octobre 2020, la statue de la Reine de la Paix, achetée un mois plus tôt à Medjugorje,
    Trouva sa place dans le salon de notre maison, sous l’applique murale «Soleil »,
    rappelant la parole de l’Apocalypse de Saint Jean : « Femme vêtue de Soleil » !

    Via Saint Jean - Apocalypse 12 :
    Un grand signe parut dans le ciel,
    Une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds,
    et une couronne de douze étoiles sur sa tête.
    Elle était enceinte, et elle criait, étant en travail et dans les douleurs de l'enfantement.


    Un peu plus tard, dans l’après-midi, une amie, souffrant de solitude,
    me demanda de lui envoyer le lien vers le site de mon témoignage :
    « Confiez votre Rencontre au Créateur de toutes choses »…

    www.rencontretobiesara.fr

    Ce site est tout d’abord un témoignage demandé par le Ciel,
    qui m’a fait rencontrer la personne avec laquelle faire ma vie dans la Confiance,
    et cela, je le dois aux grâces immenses reçues via Medjugorje depuis 26 ans…

    Via Monique Marie – Appel aux jeunes
    L’amour existe et je vous le donnerai.
    Sur la terre vous pourrez aimer,
    vous trouverez un époux ou une épouse qui vous aimera toute votre vie,
    qui partagera vos peines et vos joies toute votre vie.
    Moi, votre Dieu, je vous donnerai cet époux, cette épouse.
    Car c’est moi qui suis l’Amour, et c’est moi seul qui peux vous le faire vivre.
    Je vous offre l’amour sur la terre,
    une femme qui vous aime vraiment,
    un homme qui vous aime vraiment,
    quelqu’un sur qui vous pouvez réellement compter.
    Je vous l’offre, mais pour cela suivez ma loi de vie.
    Confiez-vous à moi, priez chaque jour pour votre futur époux ou épouse,
    Appelez-moi chaque jour.


    Après avoir envoyé le lien, je me décidai à ouvrir le livre que l’on m’avait offert durant le pèlerinage :
    A ma grande surprise, le passage décrivait une Rencontre ; il datait aussi du 20 octobre 1994,
    ce qui correspondait à la date du jour, mais 26 ans plus tôt, 26 signifiant la Signature de l’Éternel.

    Ce livre, voilà un mois qu’il m’était impossible de l’ouvrir…
    Cette statue, voilà un mois que mon mari temporisait pour effectuer son installation…
    C’est ce 20 octobre que tout se fit, période me rappelant celle de ma Nouvelle Naissance, 26 ans plus tôt !

    Via Lorène et Jean-Renaud d’Elissagaray – livre Grâce à Toi – éd Salvator
    «Se pourrait-il que cette vague d’amour et de compassion,
    qui a émanée de la soirée de prières du 20 octobre 1994,
    ait pu influencer le cours des choses?»


    Dans le passage que je lus, le narrateur témoigne de sa sortie du coma, le lendemain de prières et,
    des investigations des médecins, face à l’improbabilité des données scientifiques observées…
    mais surtout, de la réponse reçue ensuite à Medjugorje, en la Rencontre qui a changé sa vie :

    Via Lorène et Jean-Renaud d’Elissagaray – Grâce à Toi – éd Salvator

    Via Lorène :

    Mardi 2 avril 1996, 19 heures. Je quitte mon bureau du journal « Marie Claire ». Christine, une amie, m’accompagne en voiture. Elle me demande si vraiment je suis décidée à participer à ce pèlerinage en Bosnie. Cela lui paraît tellement dingue de prendre des vacances pour ça qu’elle peine à le croire. Elle attend surtout que je lui raconte dès le lendemain comment s’est passée la soirée de présentation de ce pèlerinage… Le rendez-vous est à 19H30. Je regarde une dernière fois l’invitation. Oui, c’est bien boulevard Flandrin dans le 16ème arrondissement de Paris. Je croise en bas de l’immeuble un vieux monsieur, un papier à la main, l’air perdu. J’ai l’intuition que nous allons au même endroit : Monsieur ? Je pense que l’invitation est mal libellée. Il faut certainement prendre l’ascenseur de gauche et non celui de droite ; merci Mademoiselle, je vous suis. Nous prenons l’ascenseur ensemble. Il est très grand et a un merveilleux regard bleu. Je n’aperçois pas tout de suite la petite croix accrochée à sa veste qui indique qu’il est prêtre. Celui pour qui je devais être désormais « la demoiselle de l’ascenseur » est le padre Bigo, père Jésuite, grand ami de jean-Renaud. j’apprendrai rapidement que cette forte amitié qui les lie date de son séjour au Chili. Dans un mois et demi, il sera d’ailleurs le premier à qui Jean-Renaud confiera son projet de mariage.
    La porte de l’appartement s’ouvre. C’est une tante de jean-Renaud, Dominique, qui nous accueille. Je ne connais absolument personne, même pas Marie-Elisabeth qui organise avec Jean-Renaud ce pèlerinage et que j’ai contactée sans la connaître. Le père Bigo est accueilli à bras ouverts par celui que j’aperçois pour la première fois, celui qui va devenir mon mari, l’homme de ma vie : Jean-Renaud d’Elissagaray. Je suis frappée par son regard clair, franc, limpide. Et par son âge. Je n’avais pas compris ce que m’avait dit Marie-Elisabeth. Je croyais que jean-Renaud avait 25 ans… Bel homme. Je sais instantanément que je n’ai pas n’importe qui en face de moi. Je sens une forte personnalité. j’ignore encore que cette rencontre va bouleverser à jamais ma vie. j’essaie avant tout de repérer Marie-Christine, mais sans succès. Je discute un peu avec les oncles et tantes ainsi qu’avec la mère de Jean-Renaud. Difficile d’expliquer ma présence parmi eux… « ah vous ne connaissez pas du tout Jean-Renaud ? », « non, non, pas du tout. », « alors vous êtes une amie de Marie-Elisabeth ? », « non plus... », « non plus ? Mais alors comment êtes vous arrivée dans notre groupe ? » Si seulement je le savais moi-même… J’écoute les conseils et recommandations de Jean-Renaud et de Marie-Elisabeth, les organisateurs. Nous dînons rapidement puis Jean-Renaud apporte deux gros albums photos. L’un intitulé "Medjugorje 1995 ", l’autre « Crazy Race Avoriaz 1996 » ; j’éclate de rire : « Ah c’est toi qui as organisé ce week-end ! » Je lui avoue que j’avais été invitée par une amis mais que j’avais farouchement résisté… Je repars tôt, vers 22 heures, avec une cassette audio retranscrivant les messages des apparitions de la Vierge, et aussi des musiques religieuses de Medjugorje. Je vais les écouter souvent avant notre départ.

    La nuit est courte (avant le départ à Medjugorje). Je me réveille à 8 heures. Je fais ma valise à toute vitesse. Mon frère Vincent doit partir ce matin à Olivet. Je lui téléphone et, à mon timbre de voix, lugubre, il devine que ça ne va pas fort : « Tu pars ce matin, Lorène ? », « oui », « comment vas-tu à l’aéroport ? », « aucune idée, en taxi certainement », « tu es prête ? », « bof... », « tu veux que je t’emmène à l’aéroport ? », « ah oui, pourquoi pas ? », « saute dans un taxi, je t’attends chez moi. » Nous voilà partis pour Roissy. Il fait froid et gris. C’est sinistre, un vrai vendredi saint. Je m’enfonce dans la voiture avec une tête de six pieds de long, paraît-il… nous discutions tellement sur l’autoroute que nous ratons la sortie pour Roissy. Aïe ! Il faut remonter vingt-cinq kilomètres plus haut pour en sortir, rentrer de nouveau sur l’autoroute vers Paris et la reprendre encore dans l’autre sens… Chic, je vais peut-être rater mon avion ? Vincent fonce. On arrive juste à temps. Tant pis… Je reconnais quelques personnes rencontrées à la réunion trois jours auparavant, sauf celui qui organise. Il n’est pas arrivé. Il est gonflé, quand même. Il pourrait être à l’heure pour accueillir sa famille et ses amis. Il va peut-être rater le vol ! Je me retrouve dans l’avion, presque vide : normal, qui va donc à Split passer un joli week-end ? Je m’installe un peu à l’écart, près d’un hublot. Thibault, un garçon avec qui j’avais discuté à la réunion, vient s’asseoir au même rang. Un siège nous sépare. Juste de quoi discuter, dans être trop proche au cas où l’un des deux ait envie de s’isoler, de lire, de méditer. De prier aussi, c’est l’objet du voyage… Ah ! Voilà l’organisateur. Il passe dans les rangs, dit bonjour à tout le monde avec un grand sourire. Il a l’air drôlement content de partir, lui. Son aisance m’intrigue. On décolle. Le voilà qui s’approche de nous. Il salue Thibault, puis moi : «Pousse-toi Thibault, je vais m’asseoir ici. » Thibault se décale vers moi et laisse son fauteuil à Jean-Renaud… « Non Thibault, ce n’est pas à côté de toi que je veux m’asseoir mais à côté de Lorène que je ne connais pas. » Il a vraiment du culot celui-là ; mais ça me plaît. Le voilà entre nous deux. c’est notre première discussion. Il m’interroge : comment ai-je bien pu atterrir dans ce groupe où je ne connais personne, même pas Marie-Elisabeth, me demande-t-il ? L’atmosphère se détend. Ils ont tous l’air vraiment sympathique… Laisse-toi faire Lorène. Ces quelques jours vont sûrement bien se passer. Jean-Renaud ne m’explique pas encore les raisons de son voyage en famille et avec des amis si proches. Je ne pose pas de questions. Nous discutions d’autres choses. De quoi ? Je ne sais plus. Nous atterrissons à Split.

    (Le voyage se poursuit, avec la présente de Jean-Renaud aux côté de Lorène, à chaque étape du pèlerinage). Le soir, nous retournons à cette immense église de Medjugorje pour le Rosaire. Je suis toujours aux côtés de Jean-Renaud. Il ne m’a pas quitté en fait. Au déjeuner, près de moi. A la messe ce matin, près de moi. En traversant les vignes, encore près de moi. Lors du Rosaire, près de moi. Je réalise que j’aime la présence de cet homme à mes côtés. Je suis séduite, sensible à son charme et je me sens mystérieusement en confiance… Le temps est splendide en ce matin de Pâques : nous montons la Colline des Apparitions en récitant le Rosaire, en le méditant… longue pause au pied des grandes croix. Je m’isole sur une pierre et je pleure sans arrêt, doucement… mais je ne suis pas triste. Simplement, je ne peux pas m’en empêcher. c’est plus fort que moi, mon cœur se vide de larmes : elles ne se voient pas beaucoup mais moi je déborde… Nous déjeunons près de l’église dans la fameuse pizzeria, notre « quartier général ». J’attends la messe de Pâques avec impatience, comme si c’était une étape, le signe d’une page à tourner. c’est à 14 heures : toujours aux côtés de Jean-Renaud… et j’ai encore les larmes aux yeux : je n’ose regarder personne dans les yeux, j’exploserais en pleurs…

    A la sortie de la messe, premier sentiment de légèreté : le cœur léger, enfin ! Jean-Renaud me propose une promenade dans les vignes. C’est Pâques et le soleil rayonne, comme mon cœur intérieurement. Après ces mois difficiles, une infime certitude au fond de mon être raisonne, me faisant ressentir la Joie de Pâques, annonçant la fin de l’hiver, hiver en dehors et hiver en mon cœur… Une source de joie jaillissant discrètement se fraye un chemin à travers tout mon être ! Dans les Vignes de la Sainte Vierge, on échange notre premier geste d’amour, notre premier baiser.

    Via Jean-Renaud :

    Dans l’avion, tout le monde est embarqué. Une bonne chose de faite. Personne ne manque à l’appel, j’ai réussi la phase de décollage. Je peux enfin me reposer… pas tout à fait : je dois quand même m’occuper de Lorène qui ne connaît personne. Je vais d’abord lui présenter les participants du groupe. Elle doit savoir qui est qui. Je rentre le dernier dans l’avion, en bon organisateur. Le groupe est installé plutôt à l’arrière de la carlingue. Je vois Lorène installée prudemment dans les derniers rangs. Amusant, elle est assise à côté du garçon que je connais le moins. j’en profite donc pour lui demander de se déplacer, sans scrupule. Il acquiesce, mais sans grand enthousiasme. Nous bouclons nos ceintures, écoutons religieusement les instructions du steward. Et nous voilà partis pour la Bosnie. Au travail. Je propose d’éclairer Lorène sur la composition du groupe et elle en semble ravie. Je fais un tour d’horizon des personnes présentes, en faisant pour chacun le lien avec ma vie. Les explications sont variées : la famille, le Chili et le Banco Contigo, l’université de Yale, l’entreprenariat… Lorène écoute attentivement. Elle semble s’intéresser à mes explications. Tant mieux. Son regard déjà m’intrigue. Je me surprends à m’interroger : mais qui se cache derrière cette frimousse attendrissante ? A l’atterrissage, Lorène est bien briefée sur les participants. j’estime avoir rempli les devoirs qui incombaient au chef de groupe.
    ...
    A Medjugorje, Lorène se plie gentiment à toutes les activités de notre groupe de pèlerins. Elle suit le mouvement. Je remarque qu’elle est assidue au confessionnal. Le monde est petit : nous tombons sur l’une de ses tantes… Lorène me présente. Elle paraît un peu timide, d’ailleurs elle ne cherche pas forcément la compagnie des autres participants. Elle me réserve très souvent ses partages… Une mystérieuse certitude monte rapidement du plus profond de moi : « Jean-Renaud, tu peux faire totalement confiance à cette femme. » C’est étonnant et surtout déroutant… Tout se joue instantanément sur la confiance. C’est bizarre comme mode de séduction : j’aurais pu être attiré par son sourire d’ange, sa plastique « Marie-Claire », sa démarche « Ava Gardner », ses répliques pétillantes d’intelligence et de bon sens, sa moue peu banale… non. C’est ce bloc d’honnêteté, de transparence, de bienveillance que je vois. Ou plutôt que je ressens instinctivement… Comment puis-je si vite me projeter dans une relation qui invite à la confiance aveugle, à la réciprocité intime, et ce que je n’ose dire… à la vie à deux ? Ce n’est pas du tout le chemin usuel, en tout cas pas celui que j’avais déjà pratiqué : il ne s’agissait pas au premier abord de séduction physique, d’émoi sensoriel, d’élan corporel… Bizarre pour moi. Je n’avais jamais expérimenté un tel bouleversement si rapide et intense. Résumons-nous : il y a deux jours, je ne connaissais absolument pas cette fille. Je suis responsable de la bonne conduite d’un pèlerinage rassemblant une vingtaine d’amis dans un pays en guerre ; je chemine dans les vignes avoisinant le bourg de Medjugorje avec elle. Je n’ai pas forcément envie de l’embrasser mais surtout de la serrer dans mes bras et la remercier d’être là… je fais quoi avec cela ? En fait, je suis perdu. Je ne sais pas ce qui m’arrive, et surtout je ne sais pas quoi faire, de peur de tout gâcher… donc, j’attends, tapi, espérant qu’un signe me guide sur le chemin à suivre. Je ne force rien mais je suis aux aguets. Plusieurs promenades champêtres nous permettent d’échanger. j’ai beaucoup parlé de moi, de mon accident, de ma famille car mes parents sont de la partie. Je ne sais rien de Lorène. Elle se livre difficilement et je peine à savoir à qui j’ai affaire. Je respecte cette pudeur mais je continue l’assaut. Moins elle en dit, plus je suis aimanté ; je ne maîtrise rien.
    ...
    C’est le jour de Pâques. Nous allons à la messe. Toute la vallée est là. l’église est débordante, la ferveur est à son comble. Tout notre groupe est pris dans cette prière collective. Nous sommes émerveillés par cette profusion de langues et de nationalités. Les démonstrations de foi sont originales voir surprenantes… c’est une petite résurrection pour chacun d’entre nous, qui découvrons une face de l’église souvent absente de nos paroisses sclérosées. Je suis bousculé par les messages de la Vierge aux voyants. C’est quoi la résurrection ? Qu’est-ce qu’une nouvelle vie ? Quel est ce mieux promis ?
    ...
    A la sortie de la messe, nous repartons nous balader avec Lorène. Certains du groupe sourient discrètement. Comme hier et avant-hier, nous déambulons dans les vignes… « Jean-Renaud, laisse-toi aller ! Mais n’aie pas peur voyons ! » Au détour d’une allée, entre deux pieds de vigne, nous nous arrêtons pour regarder le paysage. Le clocher de l’église est en ligne de mire avec sa croix haut perchée…
    les raisins sont encore verts. Lorène est toute proche. Je la fixe intensément du regard. Elle ne se dérobe pas. Elle soutient mon regard et, je crois deviner une plissure au bout de ses lèvres : ne sourit-elle pas ?
    Elle pourrait m’aider quand même, et afficher un peu plus de coopération ! Mais je ne vois ni crainte ni refus. Alors je me lance. J’ai 36 ans et mon cœur lui retrouve ses 20 ans. Il bat une chamade qui n’est plus de son âge : je vole un baiser à Lorène. Et je sais que nous sommes en phase. Les cœurs s’unissent de manière invisible. Je brûle de lui partager cette émotion qui me taraude depuis hier. Mais non, n’allons pas trop vite, respectons les étapes quand même… Je ressens l’étreinte de Lorène sincère, vraie, donnée sans calcul. Un don sans recul. Et de nouveau les entrailles qui vrombissent. Tout semble confirmé d’un seul coup. Je n’ai jamais ressenti cette évidence de confiance, d’abandon… « mais non Jean-Renaud, tu te passes un mauvais film de série B ?» Honnêtement, je suis serein en dépit de la précipitation des gestes, le pari semble fou, mais oui, c’est confirmé : «Lorène ne lâche pas le baiser ». C’est Elle ; Je suis sûre que c’est Elle. Il ne faut plus jamais la lâcher. Hier, elle m’était inconnue, et maintenant elle me comble. Je relâche l’étreinte et je vois dans les yeux de Lorène une connivence. On dirait qu’elle a tout compris, d’un seul coup. Mais comment est-ce possible ? Elle ne dit pas un mot mais ses yeux parlent pour elle. La conversation reprend presque banalement. Mais en un instant, j’ai senti s’installer cette fameuse confiance absolue,
    ciment de tout l’édifice de notre couple pour aujourd’hui et demain. Je rends grâce immédiatement, comme un réflexe. L’histoire me dépasse encore une fois. On dirait qu’une femme s’installe dans ma vie d’une manière à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Mes yeux sont humides : le voit-elle ? Je sens Lorène toute discrète, un peu étonnée, mais qui semble me susurrer : « chiche ? » Je tremble quand même encore un peu : j’ai l’impression de connaître Lorène depuis toujours, comme si elle m’attendait…


    26 ans plus tôt,
    en parallèle de cette belle Rencontre entre Lorène et de Jean-Renaud,
    j’expérimentais, une grande proximité à Dieu qui m’a conduite à témoigner par le site…

    En effet, les grâces de mon premier voyage à Medjugorje, autour du 5 août 1994,
    m’ont accompagnée dans la réussite d’un concours,
    établissant les fondations de ma vie professionnelle et de ma Foi :

    J’avais alors accepté l’invitation de quelques amis à un pèlerinage, à l’occasion du festival des jeunes.
    A ce moment là, je ne savais pas vraiment en quoi cela consistait :
    je pensais qu’un voyage avec des amis, à destination de la Yougoslavie, pouvait être agréable...

    Je venais de passer un concours très sélectif, pour lequel j’étais en quatrième position sur la liste d’attente,
    alors que le nombre de places offertes était de six :
    de l’avis du responsable du concours, il ne pouvait y avoir le moindre désistement.

    Je fus très sensible à ce séjour à Medjugorje et,
    j’en avais profité pour confier ma réussite au concours aux mains de la ‘Gospa’,
    mot croate signifiant ‘Notre Dame’.

    A mon retour de voyage, la liste complémentaire avait évolué et,
    j’étais désormais la première admissible en cas de désistement :
    la rentrée devait avoir lieu six mois plus tard...

    Durant ces mois d’attente et d’espérance, j’avais au fond de moi la certitude que ma demande se réaliserait.
    Je naviguais d’événement en événement qui me confortait dans ma certitude.
    Mon entourage m’engageait à chercher autre chose : c’était plus fort que moi, mon chemin était là...

    Les semaines passaient et bientôt la rentrée de la promotion aurait lieu !
    Un jour, je me dis que peut-être n’était ce pas la volonté de Dieu que j’obtienne ce concours :
    « St Bernard - La volonté de Dieu est que nous ayons tout par Marie» - texte puisé dans le panier paroissial...

    Quelques jours après, alors que je me trouvais avec les personnes qui m’avaient invitée à Medjugorje,
    et que je venais de leur faire remarquer que je ressentais une ambiance comme celle de Noël,
    le téléphone sonna : suite à un dernier désistement, je venais d’être sélectionnée au concours attendu ! 

    C’était le 14 décembre 1994,
    12 jours, chiffre biblique, avant la rentrée de la promotion du 26 :
    Myriam, « Marie », l’inspectrice des études, venant d’en avancer la date...

    Amour pour tous les miens - 26 mars 2001
    « Écoutez votre cœur, c’est moi qui vous parle. Ma fille de mes douleurs, quoi que disent ou fassent tes amis, rien ne peut remplacer le dire, le faire de ton Dieu. Je suis celui qui est, qui était, qui sera. Je porte en moi la vérité. Je sais ce qu’il y a de meilleur en vous. Tout est en moi. Merci, ma fille, de venir à moi pour savoir les réponses à tes doutes. Je suis celui qui ne vous veut que du bien. Mes enfants, quand l’un d’entre vous me demande une réponse, je l’éclaire par mes écrits, par mes enfants qui le côtoient ou par des faits qui lui donnent une réponse. A vous, mes enfants, d’écouter votre cœur ; il vous parlera par ses signes. »


    Après ma titularisation, je fus affectée dans un grand service de l’administration :
    un jour, en tapant un peu vite sur mon clavier le nom du système sur lequel je travaillais,
    j’obtins, avec les mêmes lettres, le mot ‘SAINT’!

    Je me suis rendue compte que si je faisais le même exercice
    avec le nom du système sur lequel mon collègue de bureau était affecté, le mot formé était ‘BAD’…
    et qu’à observer l’état de nos bureaux, c’était d’un coté rangé et de l’autre en désordre!

    Voilà à quoi ressemblait la situation à mon retour de Medjugorje :
    Ces grâces reçues ne sont pas signe de notre Sainteté mais, de Celle de Dieu et de Sa Miséricorde,
    Elles sont signes de l’appel du Ciel et de son encouragement à nos côtés...

    Medjugorje - 25 juillet 1987
    « Chers enfants, je vous en prie, à partir d'aujourd'hui acceptez le chemin de sainteté. Je vous aime, c'est pourquoi je désire que vous soyez saints. Je ne veux pas que Satan vous entrave sur ce chemin. Chers enfants, priez et recevez tout ce que Dieu vous tend sur cette route amère. Cependant, à celui qui prend cette route, Dieu révèle une profonde douceur et ainsi il répondra avec joie à tous les appels de Dieu. Ne donnez pas d'importance aux petites choses, aspirez au Ciel. Merci d'avoir répondu à mon appel.»


    Sarah.
    • Arnaud On 17/03/2020
    Bonjour,

    je viens témoigner de plusieurs miracles que le Seigneur a fait dans ma vie, dans le domaine du couple.
    Il surprend toujours ceux qui s'en remettent à lui.

    Depuis tout jeune, j'avais un immense désir de mariage ce qui est sans doute rare pour un garçon de 16-17 ans. J'avais déjà très à cœur d'être père et mari. Avant d'avoir la foi en Jésus, il ne m'apparaissait rien de plus merveilleux que la paternité et l'amour conjugal.

    Mais, suite à de graves difficultés entre une jeune femme et moi, je sombrais dans une descente mortel dans un abyme décadent de jeux-vidéos, de drogue, etc... La situation semblait ne jamais devoir changer mais Dieu m'appelait pour que je le cherche : un jour, je criais à lui de tout mon cœur brisé !

    Et il se dévoila à moi. Je découvris la Bible, l'histoire de la Croix, le Saint-Esprit !

    Me retrouvant face à un Dieu que je connaissais très mal, je voulais cependant faire sa volonté et lui offrit le choix de ma vie :
    Moine au désert ou Mari ?
    Je me plaçai alors devant ma Bible, et solennellement j'ouvrais un passage au hasard, avec un fond de crainte dans mon cœur.
    "Si je trouve un verset qui correspond à peu près à quelque chose, je l'appliquerai".
    Le Seigneur est Grand : mon doigt s'arrêtait pile sur un verset de l'ancien testament disant :
    "ils prirent des femmes et eurent des enfants".

    Le nombre de versets aussi précis dans toutes la bible sont peut être au nombre de 3 !
    La réaction fut instantanée ! Je criais de joie !
    Pendant 3 jours, ce ne fut que larmes de reconnaissance, actions de grâce, etc...

    Seulement voilà, à l'époque ma vie est toujours en ruine : ni travail, ni plan d'avenir, un tas incalculables d'addictions sévères, graves: psychotropes, cigarette (60 par jour), musique métal (je ne pouvais pas m'arrêter d'en écouter, c'était une vrai dépendance), jeux vidéos (addiction aussi fortes que la cocaïne d'après l'OMS), sans compter la pornographie…

    Mais le Seigneur est Tout-puissant et il est Fidèle.
    Morceau après morceau, il a refait toute ma vie. Patiemment, il m'a guéri, et m'a conduit pour le servir.

    Aujourd'hui, en master de droit, libéré de toute addictions (ça m'arrive de fumer 1 semaine, puis d'arrêter, mais à des intervalles de plusieurs mois/ ans), je viens de rencontrer celle que le Seigneur me destine !

    La jeune femme interpellait mon cœur mais je voulais remettre tout cela à Dieu, et faire sa volonté malgré les apparences.

    Je faisais un chapelet, pour demander un signe indubitable de sa Volonté puis, j'appelais une amie afin de m'aider à discerner : nous priâmes ensemble, mais ayant beaucoup de mal à rester concentrer, je décidais de placer sous mes yeux une belle image de Jésus, un tableau le représentant sur la croix que je trouvais sur internet...
    A ce moment là, comme mon portable se déchargea et la communication s'interrompis, je courrus chercher un chargeur et la prière repris... Mon amie reçoit alors très clairement que oui c'est elle !

    Alors que la conversation continue, je reviens vers mon ordinateur et d'une main distraite, je vais pour noter afin de me souvenir de ce qui a été dit. Là, je regarde le nom du site sur lequel le tableau de la Croix s'affichait : le prénom particulier de la jeune femme, Aliénor, était écrit dans le nom du site lui-même !

    Finalement, je l'ai eu le signe indubitable que je vous partage :

    https://www.alienor.org/collections-des-musees/fiche-objet-36723-tableau-jesus-en-croix-entre-la-vierge-et-saint-jean-l-evangeliste-la-crucifixion-titre-factice

    Toute gloire à Dieu !
    • Régine On 15/02/2020
    Voici mon témoignage :
    J'ai 5 enfants.
    Ma fille avait été abandonnée par un petit ami qu'elle connaissait depuis six ans.
    Elle fût très malheureuse à la fin de cette relation mais, révoltée et rejetant toute religion, je ne pouvais lui demander de prier pour que sa vie s'améliore...
    J'ai donc pris tout cela sur moi, en jeûnant pour elle tous les vendredis et récitant le chapelet tous les jours et demandant à Jésus de lui envoyer la bonne personne.
    Le miracle ne s'est pas fait attendre :
    au bout de trois mois elle a rencontré sa moitié, cela fût un véritable coup de foudre qui dure depuis sept ans.Toutes les personnes qui les connaissent s'accordent à dire qu'ils sont vraiment faits l'un pour l'autre. Un petit bébé devrait arriver très bientôt.
    Leur foi n'est toujours pas à l'ordre du jour mais je ne quitte pas mon chapelet et mon jeûne, j ai confiance dans l'amour et le plan du seigneur...
    Chapelet et jeûne aussi pour mes autres enfants (quatre garçons) : grâce à ces armes données par notre sainte Mère, des miracles se réalisent dans notre vie familiale !
    Régine.
  • Alors que le Seigneur m'a inspirée, il y a quelques jours, une prière pour commencer à voir les fruits de ce témoignage (ce présent site),
    La vie d'une personne proche a été bouleversée par une rencontre.
    Comme je ne peux m'en empêcher, je vous fais ce partage, avec son accord :

    Des Cadeaux pour Tous !

    Depuis presque trois ans, j’accompagnais une personne que je nommerai Pascal :
    A l’âge de presque 60 ans, il subissait les conséquences de la décision de son épouse de se séparer…
    Ses idées étaient noires, mais il s’accrochait, de temps en temps, à celles du Ciel que je lui présentais.

    Le lendemain de l’ Epiphanie, le 7 janvier dernier, alors qu’il fêtait ses 60 ans,
    Et accessoirement la fête de Sainte Virginie,
    Trois personnes, du site internet des amis, le contactèrent pour lui souhaiter un bon anniversaire.

    Quelques jours plus tard, il déjeuna avec l’une d’entre elles :
    Le couple d’amis n’y croyait plus...
    Mais, alors qu’ils se rencontraient pour la première fois, ils furent sous le choc de cet événement…

    Ce jour là,
    C’était le 18 janvier 2020,
    Un jour désigné comme étant celui d’une importante transition (18...)

    Les rencontres suivantes se firent dans la fébrilité :
    Ai-je rêvé ?
    Le rêve va-t-il s’arrêter ?

    Depuis, La Paix est au milieu d’eux...
    Et Pascal et moi recevons de multiples signes de confirmation de ce Cadeau Céleste :
    Notamment autour des Trois personnes de la Très Sainte Trinité.

    Sur la première photo que Pascal me présenta de cette personne,
    Elle portait une grande Croix et figurait une consacrée, dans l’ oeuvre ‘Don Juan’ d’Eric Emmanuel Schmidt…
    Une désignation de la personne et un rappel du message véhiculé dans la pièce par ce personnage ?

    Au moment de la rencontre que Pascal eu avec cette personne,
    Celle-ci, alors qu’elle vivait seule, et n’avait peut-être aucun objectif de relation future,
    Pensa immédiatement : C’est lui…

    Après seulement quelques temps de relation,
    Pascal, profondément inspiré, me dit : Je n’ai jamais été aussi Heureux.
    Quand il m’avait parlé de leur première rencontre, Il m’avait transmis une Joie surnaturelle...

    Quand il se prépara à sa 3ème rencontre avec elle, alors que nous prenions le café,
    Je réalisais que le porte-clés que je tenais était formé d’une clé et d’un coeur, ce qui me fit penser au Ciel…
    Je le lui offris, puis réalisais le Signe, pour lui et elle…

    L’Amour vient de Dieu
    Qui a Les Clés du Cœur et
    Qui connaît chacun par notre Nom...

    Voici donc ce témoignage de Pascal.
    Et voici la prière, que son peu de foi lui a permis de faire pour transformer leur vie...
    Dieu connaît le Cœur de ses enfants divorcés, séparés, remariés, désespérés...

    « Mettez ma croix et pour l’instant, ne faîtes qu’une seule chose...
    regardez-moi sur cette croix et dîtes-moi :
    Ô Dieu que je ne connais pas,
    Qui êtes mort sur la Croix, alors que vous étiez innocent de tout mal,
    Délivrez-moi de la souffrance.
    Délivrez-moi du mal !
    Je ne sais pas comment faire, je ne sais pas où chercher de l’aide !
    J’ai fait ce que vous m’avez demandé de faire : j’ai mis votre croix sur le mur de ma maison.
    Je vous en supplie, guidez-moi.
    Vous avez promis ! Vous tenez toujours vos promesses !
    Je viens à vous, je vous en supplie, donnez-moi de vivre ! »

    Le 7 mars 2020, Pascal m'invita au spectacle donné par la troupe de sa bien-aimée.
    Ironie du sort, elle jouait une none, devenue ainsi non par Amour pour Dieu, mais parce que blasée suite à sa relation avec Don Juan :
    Quand celui-ci changea, elle-même quitta l'habit, libérée de cette relation toxique qui l'avait conduit sur un chemin qui n'était pas le sien.

    Des signes du Ciel m'avaient accompagnés toute cette soirée
    Notamment celui signant la Volonté de Dieu dans cette Rencontre : 26 (adresse du théâtre) !
    Et c'est ce chemin, prévu de toute Eternité et enfin atteint, qui fait aujourd'hui la Joie de Pascal et de notre actrice.
  • 13 novembre 2018, levé à 2h38, après les deux cafés et une cigarette j'allume, comme tout le temps, mon PC trouver un souffle de vie et d'animation dans le silence et le désespoir de ma vie..... Hier, j'ai pleuré avec mon fils de bientôt 14 ans, Timothé, en lui annonçant mon départ de la maison suite à la demande de mon épouse qui ne m'aime plus et désire me voir quitter les lieux..... Je suis tombé sur votre site et rebelotte, j'ai de nouveau pleuré; mais de Joie que Dieu puisse se manifester presque personnellement à moi à travers vous.....Je Lui ai dit Merci et vous dis Merci d'exister. Loué soit Le Seigneur. Gloire à Dieu et Mille mercis à La Vierge Marie, notre Maman du ciel qui intercède constamment pour nous si nous implorons.J'ai 61 ans passés et vais devoir vieillir seul et abandonné. puisse Dieu m'accompagner sur ce chemin escarpé. Amen
    • Walter Gilker On 12/11/2018
    J’avais environ 13 ou 14 ans quand un professeur à l’école nous dit qu’il avait prié étant jeune pour celle qui un jour allait devenir son épouse. Je trouvais que c’était une bonne idée de faire cette prière. Alors à ma prière du soir avant de dormir je faisais cette courte prière : Mon Dieu un jour j’aurais une épouse. Je ne la connais pas encore mais Toi tu la connais, alors je te demande de la préparer pour moi et de me préparer pour elle. Merci Seigneur.
    Quelques jours avant mes 20 ans, j’ai rencontré celle que Dieu avait choisie pour moi. Nous sommes marié depuis 53 ans, avons eu 3 enfants et maintenant nous sommes grand parents de 11 petit enfants et une arrière petite fille. (Merci Seigneur)
    Un de mes fils ayant entendu mes propos à ce sujet décida de faire cette prière. Il est aujourd’hui marié et a eu 4 enfants. Mon épouse et mois n’avons manqué de rien au cour de notre vie et mon fils cité plus de même. (Merci Seigneur)
    PSAUME (126) 01 Si le Seigneur ne bâtit la maison, les bâtisseurs travaillent en vain ; * si le Seigneur ne garde la ville, c'est en vain que veillent les gardes.

    Walter
    • christelle On 12/11/2018
    Bonjour A toutes et tous !

    Je viens de finir une neuvaine (fin vendredi 9/11/2018) pour tous les couples de la terre !
    Voyez vous comme Dieu est époustouflant dans sa puissance et sa façon de nous montrer sa présence !
    Aujourd'hui je découvre ce nouveau site ( nouveau signe du ciel ) qui répond à mes prières (de l'aide aux couples par l'esprit saint et la paix dans les familles )

    Que la tète du serpent soit écrasée et qu'il n'ai plus le pouvoir de désunir et déchirer les familles .
    Amen Amen Merci Seigneur pour ton témoignage de présence et d'action !

    Ce site vas bien évidemment aider ( dans tous les sens de ce mot!) chacun et chacune,
    ceci, quelle que soit ta volonté , a comprendre que seul ta volonté est importante et qu'il faut s'y abandonner en sachant juste que c'est le mieux pour nous , puisque tu nous aime et fera notre bonheur .

    J'ai pleine confiance en toi Seigneur , je t'aime Seigneur et te donne mon oui inconditionnel !

    Je suis moi même aujourd'hui l'épouse d'un homme qui ne voulait Jamais se marier !
    J'ai par une neuvaine demandé a Dieu de faire pour moi sa Divine volonté concernant ma situation de vie commune sans mariage , en accueillant pleinement sa volonté et attendant patiemment son action quelle qu'en soit l'issue !
    Cela a l'insu de mon conjoint ,qui, était juste conscient que pas idéal ( conforme aux yeux du Seigneur) pour moi de ne pas être mariée par rapport a mes pratiques . Sans plus , donc ce n'était pas que je nourrissait ou ressassait ce sujet dans notre relation !
    Durant toute cette neuvaine , j'ai reçu et observé de nombreux signes du ciel , manifestés de différentes façon et certains visible pour mon conjoint éventuel futur mari ...( non pratiquant ) !
    Je précise que le Seigneur m'avait convertie depuis environ un ou deux ans , de façon fulgurante et très puissante , ce qui m'a conduite dans une grande recherche et union toujours plus grandissante avec tout le ciel !

    Le lendemain de la fin de cette neuvaine , mon mari actuel me regarde et dit : Nous allons le faire !
    Je répond, (ne sachant nullement de quoi il parlait) : faire quoi ?
    Il répondit : Ben , nous marier .
    Etonnée et ravie ( Que Dieu est Puissant) ) : Ha bon , quand ca ?
    Et, il me répondit : comme tu veux !
    Moi j ai pensé comme Dieu veut !

    Et Nous sommes aujourd'hui depuis deux ans mariés . (Pour ma part , une union a trois avec le Seigneur!)

    Le malin ,pas heureux , a bien évidemment essayé de déjouer la Divine Volonté quelque fois !
    Il rode régulièrement , ce serpent rusé et menteur ; mais en passant par Marie qui prie avec moi, le rosaire et les prières sont notre bouclier contre lui qui tente tout pour les divisions des familles .
    Donc cela ne veut pas dire que tout est toujours rose ...
    Mais je porte volontiers ma croix avec Jésus et Je remercie , loue et béni le Seigneur chaque jour pour ce qu'il me donne quoi qu'il me donne !
    Je peux dire que : traverser des difficultés c'est bien - pénible si Le Seigneur fait partie intégrale de votre vie .
    Gardez toujours les yeux et votre cœur tout entier vers lui, en lui déposant vos fardeaux ainsi que vos demandes et vous serez comblés , consolés, témoins de son action et de son amour pour vous !

    Demandez et vous recevrez !
    Faites donc du Seigneur la priorité constante et en tout temps de vos vie !
    Il sera avec vous tous les jours de la vie !
    Priez en vivant et vivez en priant , vous verrez comme Dieu est présent puissant et Grand !
    Suivez ses commandements et vos vie , le monde, s'en porteront tellement mieux ....

    Christelle.

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