Aux adultes fatigués

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(Image miraculeuse)

O mes fatigués, ne voyez-vous pas, ne sentez-vous pas que vous êtes fatigués ?

Vous allez, vous venez, vous faites, vous agissez, vous êtes sans repos.

Le dimanche qui devrait vous reposer est le moment de toutes les distractions possibles.

Vos corps sont épuisés, vos cœurs sont épuisés, votre psychisme est épuisé, votre âme est misérable, abandonnée, désespérée.

O mes enfants fatigués, venez vous reposer devant moi, dans mon cœur !

Partout, on vous demande d’agir, d’être performants, de démontrer vos capacités,

Tandis que moi, votre Dieu, je ne vous demande rien, sinon de vous reposer devant mon saint tabernacle.

Là, vous n’avez besoin d’aucune parole, d’aucun raisonnement, d’aucun livre savant.

Il vos suffit d’être devant moi et je vous soigne, je vous guéris, je vous console, je vous repose, je restaure tout votre être qui est délabré,

Car vous allez et venez sans cesse fuyant votre propre cœur.

Les femmes après leur travail ont tant à faire à la maison, et, à peine la tâche achevée, si fatiguées,

Elles ouvrent le menteur, le voleur d’âmes, le poste de télévision ; l’homme fait de même.

Et vos cerveaux doivent encore enregistrer image sur image, impureté sur impureté, souvent bêtise sur bêtise,

Parole sur parole, bavardages incessants, si bien que vous ne dormez plus.

Combien d’entre vous ne dorment plus d’un véritable sommeil réparateur !

Et c’est alors la course vers les médecins et les médicaments nocifs : les médecins ne soignent pas l’âme si bien que vous ne guérissez pas vraiment !

Car dans cette course au faire, à l’agir, à la culture, aux spectacles, aux vacances, aux activités,

C’est votre âme qui souffre, c'est votre âme qui crie, c’est votre âme qui ne peut vivre, qui étouffe.

C’est elle qu’il faut soigner, c’est à elle qu’il faut donner de la place, c’est elle qu’il faut écouter, c’est elle qui a absolument besoin de vivre,

Parce que vous n’êtes sur terre que pour cela : la faire vivre en son Dieu. Oui, vous n’êtes sur la terre que pour cela.

Et tant que vous ne le savez pas, vous n’êtes pas coupables. Seulement vous souffrez sans cesse et vivez dans un tourbillon épuisant.

Maintenant, aujourd’hui, je vous le dis. Ecoutez-moi. Vous n’êtes sur la terre que pour me connaître et m’aimer,

Pour dilater votre âme où je suis, pour vivre avec moi, pour vous reposer et agir en moi ; vous n’êtes sur la terre que pour cela.

Or, vous négligez cette ultime nécessité, cette unique nécessité.

D’où votre souffrance, vos insomnies, vos courses à l’argent, au pouvoir, à l’amour, aux relations.

D’où votre soif mille fois déçue d’être reconnue, d’être considéré,

D’où le goût déséquilibré de collectionner des objets, et quelquefois des personnes, d’en faire votre souci, vos angoisses quotidiennes.

D’où l’avarice, la peur de donner, le besoin d’accumuler.

D’où la course aux activités multiples, aux sports multiples, aux nouveautés, au dernier cri, aux aventures sans lendemain.

Tout cela parce que vous oubliez ou vous ne savez pas que ces recherches éperdues cachent en réalité

la seule recherche pour laquelle vous êtes faits et qui vous rendrait heureux :

La recherche de votre Dieu amoureux, la rencontre avec moi qui vous attends et qui donne tout bien, aussi bien matériel que spirituel.

Moi, en qui vous trouveriez le repos et l’épanouissement, l’équilibre et la véritable entreprise, car je suis l’entrepreneur de toute chose, de toute nouveauté.

Je suis le Nouveau par excellence, le jamais vu, le jamais entendu, le jamais imaginé.

Je suis tout et je donne tout à celui qui m’ouvre la porte de son âme.

O mes chers enfants fatigués, je vous vois dans les gares, dans les villes, dans les super marchés ;

Je vous vois sur les pistes de ski, dans les soirées mondaines, dans les pubs, dans les boites de nuit ( !),

Je vous vois dans les bars, les usines, les bureaux, je vous vois sur les routes, dans les trains, les métros, les bus, je vous vois.

Mon cœur saigne, car vous êtes sans nourriture, sans joie, sans raison d’exister.

Vous courez vers des biens éphémères, vous mourez à vous-mêmes, vous êtes souvent l’ombre de vous-mêmes,

Vos bouches parlent, vos membres bougent, mais votre âme meurt, vos cœurs meurent.

Vos solitudes sont extrêmes. Je vous vois le dimanche, seuls, dans les appartements, devant les télévisions,

Sans amour, dans les squares, cherchant désespérément à qui parler.

Je vois les couples seuls chez eux, car ils ne se parlent plus.

Je vois ceux qui meurent seuls.

Je vous vois, errant dans les villes, de bar en bar, de rue en rue, de magasin en magasin, d’achats en achats,

Pour essayer de chasser l’ennemi qui est en vous, le vide, l’absence, la terrible solitude.

Je vous vois cherchant sur Internet d’autres relations pour combler l’ennui de votre vie de famille et de couple, l’ennui de votre vie tout court.

Je vous vois cherchant de toutes les façons à oublier l’immense tristesse, l’immense lassitude, l’angoisse insupportable qui vous taraude.

Et beaucoup d’entre vous ne savent pas que je suis celui qui vous en guérirait.

Je suis le seul qui peut vous en guérir. Ma bien aimée poête le sait, elle qui en a été guérie ! Ma bien aimée le sait qui en a souffert tant d’années !

Je vois, o mes souffrants, toutes vos luttes pour sortir de l’horrible désespoir qui vous habite. Car il est, ce désespoir, insupportable, inhumain.

Mais vous vous trompez de route, on vous induit en erreur :

Plus vous ferez, plus vous aurez d’activités, de sorties, de relations, plus votre âme se consumera et souffrira,

Et à sa suite votre corps engendrera maladie sur maladie pour vous obliger à vous arrêter et à réfléchir.

Ces maladies seront l’ultime espoir pour vous obliger à retourner vers vous-mêmes.

Mais pourquoi tant d’années de tristesse, mes souffrants, mes fatigués ?

Pourquoi ?  Alors que Dieu veut vous donner toute guérison, si vous l’écoutez.

Je vous offre aujourd’hui de commencer à guérir, sans médicaments, sans souffrance, sans besoin d’argent, gratuitement.

Venez simplement devant mon saint tabernacle, rentrez dans mes églises, asseyez-vous-y et restez devant moi.

Vous n’avez rien à faire sinon à vous y reposer et à recevoir mon amour qui va soigner votre âme si malheureuse et votre corps déjà atteint.

Beaucoup d’entre vous vont chez les bouddhistes ou s’inscrivent à des cours zen ou des arts martiaux qui leur semblent enfin apaiser leur âme.

Ils s’astreignent alors à des quantités d’exercices, des pauses compliquées, longues, douloureuses, des heures de méditation.

Tout cela parce que votre âme n’en peut plus et que vous me cherchez et que vous ne savez pas où je suis et qu’on ne vous le dit pas.

Je ne suis pas dans les postures zen, je suis dans le tabernacle de toutes les églises

Et je guéris toutes les maladies, plus vite et sans astreintes compliquées.

L’unique nécessité est de vous asseoir et de vous reposer devant mon cœur ouvert et brûlant d’amour pour vous.

O mes chers fatigués, que je vous aime ! que je vous cherche !

Combien je souffre de ne pouvoir vous guérir parce que vous ne me le demandez pas.

Vous cherchez partout ailleurs ce que je suis seul à pouvoir donner.

Je vous vois vous épuisés, je vous vois sans abri véritable, sans caresses, et je suis toutes les caresses, tous les abris.

Oh ! Combien je souffre. Je suis le Roi des rois, mais je ne peux que proposer mes trésors,

car mes sujets sont libres : ils sont libres de venir jusqu’à mon Palais, de s’y promener, d’en ouvrir toutes les portes et de se servir à leur gré.

Mais je ne peux leur imposer, je ne peux les obliger à venir jusqu’à moi, je ne peux les implorer,

Car moi qui les ai créés, je les ai faits à mon image et à ma ressemblance :

Je les ai faits Libres ; quitte à en souffrir sans cesse.

Car mes biens ne sont que pour être données, ma joie n’est que pour être donnée, mon cœur n’est que pour être donné.

O mes chers enfants bien qu’adultes, souffrant de mille blessures non exprimées, de mille ressentiments, de milliers de manques d’amour,

O mes tout petits, bien qu’apparemment grands, mais si souffrants, si douloureux, si secrètement humiliés ou déçus ou désespérés,

Mes enfants, mes fatigués, mes épuisés, venez vous reposer en mon cœur. Venez vite, votre Dieu vous en supplie,

votre Dieu est à genoux pour vous le demander.

Sauver vos âmes si malheureuses, si horriblement mutilées. Je vous donnerai toutes grâces.

En ces temps qui se raccourcissent, je vous donnerai toutes grâces,

Pour que vous compreniez, que vous croyiez, que vous sachiez,

Que tout ce que je dis est vérité, que ce que je dis se fait, que je suis Dieu, que ma parole est acte.

Que ma passion pour vous est sans faille jusqu’à la fin des temps.

Votre Dieu.

(Jésus - via Monique Marie - Appel aux jeunes)