Aux séparés divorcés remariés
Ne croyez pas que je vous oublie dans ce petit cahier d’Amour, car vous êtes au cœur de mes souffrances. Vous êtes mes souffrants,
Car lorsque vous étiez jeunes, on ne vous a pas appris ce qu’est vraiment l’Amour, comment on choisit un époux ou une épouse pour la vie,
Si bien que vous cherchez cet époux ou cette épouse Unique en passant de l’un à l’autre ou de l’une à l’autre, non pas par légèreté ou goût du changement !
Non, au contraire : parce que vous cherchez véritablement cet(te) unique, et que vous sentez d’une manière certaine que vous y avez droit.
(tableau d'Akiane)
Vous avez raison : vous aviez droit à ce bonheur et vous cherchez ce que j’ai promis, moi votre Dieu que vous ne connaissez pas.
Vous cherchez à vivre ce qui existe au plus profond de vous-même : l’ Amour.
Hélas, on ne vous a pas donné le bon chemin pour le rencontrer
Et vous expérimentez cette tromperie, à travers toutes les souffrances qui accompagnent les séparations !
(tableau d'Akiane)
Souffrances pour vous-même tout d’abord, car aucun lien ne se dénoue sans souffrances
Et votre corps y étant impliqué, c’est tout votre être qui les subit.
Souffrances ensuite pour vos enfants que vous ressentez très profondément, même si vous n’en parlez pas.
Car vous faites tout pour que « tout se passe au mieux ».
Mais ce tout, vous le savez, vous le voyez, n’empêche en en rien leurs souffrances,
Et la votre qui redouble obligatoirement,
Car vos cœurs de parents ayant été ouvert à la maternité et à la paternité,
plus rien ne peut atteindre vos enfants sans vous atteindre,
De même si vous ne l’avouez pas !
Je viens à vous, o parents avides d’Amour. Je viens à vous !
Je viens vous consoler.
(tableau d'Akiane)
Quand vous trouverez mes mots sur cette page,
Vous serez peut-être au premier ou au deuxième divorce,
Sans être parvenus à la Joie que vous cherchez et regardant au fond de vous-même,
Vous saurez que je dis vrai.
Où donc est le bonheur ? Je l’ai cherché et je ne l’ai pas trouvé !
Non, vous ne l’avez pas trouvé, mais je veux vous le donner, moi, votre Dieu aimant !
Venez à ma source, écoutez ce que je vais murmurer à vos oreilles, à tout votre être blessé.
(tableau d'Akiane)
Ecoutez, oh, écoutez !
Je viens vous aimer, vous reconduire vers les sources d’eau vive que vous cherchez.
Aujourd’hui vous pouvez tout recommencer.
(tableau d'Akiane)
Voyez-vous, sur la croix que vous n’avez pas comprise,
que vous ne regardez jamais, car elle vous fait peur,
Sur la croix, j’ai pris toutes vos blessures. Je ne les ai pas jugées.
Je me suis laissé frapper et flageller et crucifier pour réparer vos corps eux-mêmes flagellés, blessés, défigurés.
J’ai pris toutes vos souffrances ! Je l’ai ai brûlées à l’ Amour.
Si bien que vous pouvez tout recommencer tout de suite et revivre !
Comment revivre ? Votre famille est disloquée, les enfants désespérés. Comment revivre ?
Allez chercher ma Croix : mettez-là dans votre maison, au milieu de votre famille, telle qu’elle est,
Avec ses souffrances, ses péchés, ses colères, ses disputes, ses hargnes, ses déceptions, ses amertumes, ses regrets.
N’attendez pas d’être devenus meilleurs pour commencer avec moi, le tout puissant, une nouvelle vie.
Mettez ma croix et pour l’instant, ne faites qu’une seule chose... regardez-moi sur cette croix et dites-moi :
« O Dieu que je ne connais pas, qui êtes mort sur la Croix, alors que vous étiez innocent de tout mal,
Délivrez-moi de la souffrance. Délivrez-moi du mal !
Je ne sais pas comment faire, je ne sais pas où chercher de l’aide !
J’ai fait ce que vous m’avez demandé de faire : j’ai mis votre croix sur le mur de ma maison.
Je vous en supplie, guidez-moi. Vous avez promis ! Vous tenez toujours vos promesses !
Je viens à vous, je vous en supplie, donnez-moi de vivre ! »
Parents blessés, si vous faites ce que je vous demande aujourd’hui,
Vous verrez que peu à peu, votre âme me connaîtra
Et que vous trouverez l’Amour que vous cherchez et le repos.
(tableau d'Akiane)
N’ayez pas peur de moi, car je ne suis que l’ Amour.
Je vous enverrai des frères et des sœurs qui vous ramèneront au berceau de ma tendresse, car ma croix les attirera à vous.
Ils vous conduiront peu à peu sur les chemins odorants de fleurs et de douceurs, que je vous ai réservés pour ces temps de détresse.
Ayez confiance : Ma croix seulement regardée, même sans la comprendre, ou simplement en la questionnant,
répond toujours, donne et donne encore, et ne cessera de vous donner.
Je suis le vivant.
Je suis celui qui vous aime et qui vous cherche !
Ecoutez bien. Je ne vous demande qu’une chose, une seule, mais je vous la demande.
Je vous ai tout promis, si vous obéissez à mon imploration :
Ma croix, allez la chercher, qu’elle bénisse toutes vos maisons, qu’elle console toutes les détresses,
Qu’elle éloigne les querelles, les incompréhensions, les haines. Regardez-la chaque jour.
Questionnez-la, implorez-la, importunez-la, parlez-lui de tout, pleurez près d’elle.
Et mettez à coté d’elle le visage de ma sainte Mère.
Alors tout se fera peu à peu. Je promets. Je fais.
(tableau d'Akiane)
Je suis votre Dieu qui vous cherche,
Jésus Christ, fils unique du Père dans l’unité du Saint-Esprit.
(via Monique Marie - livret "appel aux jeunes" - édition : rassemblement à son image - www.asonimage.fr )